Παρίσι, συσκότιση του Πύργου του Άιφελ για το Χαλέπι: από τον υπαρξισμό του Σαρτρ στον ανυπαρξισμό των ουαχαμπιτών…
Αλ Κάιντα.
καταραμένους τζιχαντιστές … από τον υπαρξισμό του Σαρτρ στον ανυπαρξισμό των ουαχαμπιτών,
από τη Γαλλική Επανάσταση στην γαλλική ισλαμιστική επανάσταση στον νέο
Πεταίν και το νέο καθεστώς του Βισύ της Anne Hidalgo (δήμαρχος των Παρισίων) που εγκαθιδρύει η
συνθηκολόγηση της με την αλ Νούσρα… Η »γραμμή μαζινό » για μια ακόμη
φορά έπεσε.
του Τρόμου εγκαθιδρύεται στη Γαλλία. Ο Πολ Ελουάρ, ο Αντρέ Μπρετόν και οι
υπερεαλιστές αποκεφαλίζονται στις όχθες του Σηκουάνα.
»φυσικό Δίκαιο » του Ρουσώ αντικαθίσταται από τη Σαρία.
γεννιέται ελεύθερος και πεθαίνει σκλάβος » των τακφιριστών.
La Tour Eiffel éteinte ce soir en soutien à Alep
La
tour emblème de Paris sera éteinte à partir de 20h, indique un
communiqué. “Cette mesure symbolique, sur un monument observé dans le
monde entier, vise à interpeller une nouvelle fois la communauté
internationale sur l’urgence à agir”, indique la maire de Paris.
Le Figaro
Paris : la tour Eiffel éteinte affiche son soutien à Alep
Plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées dans la capitale
dans la soirée de mercredi en solidarité avec les victimes d’Alep.
Source AFP
Publié le
14/12/2016 à 15:04
| Le Point.fr
Ce mercredi 14 décembre, la tour Eiffel est restée éteinte en soutien aux habitants d’Alep.
© AFP/ PHILIPPE LOPEZ
face à la « situation insupportable » vécue par les habitants de la
ville syrienne. La tour emblème de Paris a été éteinte à partir de 20
heures, indique un communiqué. Cette « mesure symbolique, sur un
monument observé dans le monde entier, vise à interpeller une nouvelle
fois la communauté internationale sur l’urgence à agir », indique la
maire de Paris. Les « dernières rues d’Alep
encore tenues par l’opposition sont en train d’être reprises par le
régime en faisant des centaines de victimes », indique encore la maire
de Paris, qui entend ainsi « manifester le soutien de Paris aux
habitants d’Alep ».
Actions de soutien
Anne Hidalgo indique qu’un convoi humanitaire médical
partira jeudi pour Alep de l’hôtel de ville, composé de deux camions
chargés de matériels et d’équipements médicaux affrétés par l’Union des
organisations de secours et soins médicaux (UOSSM). Ces matériels seront
distribués aux structures sanitaires et aux hôpitaux de la ville
syrienne. La maire de Paris avait reçu lundi dernier le président du
conseil local des quartiers rebelles Brita Hagi Hassan, annonçant des
mesures d’aide en faveur de la ville. Elle avait également invité les
maires du monde à mener des actions de soutien avant de transmettre un
message du responsable syrien lors d’une audition samedi au Vatican.
La maire avait également annoncé une enveloppe de 100 000 euros en plus
du million d’euros donné par Paris aux associations humanitaires
intervenant en Syrie
depuis 2011. Le personnel de la tour Eiffel est actuellement en grève,
mais ce mouvement social « n’a pas d’incidence » sur l’initiative, selon
la ville.
« Bachar assassin, Poutine criminel »
D’autre part, plusieurs centaines de personnes se sont
rassemblées mercredi dans la soirée à Paris, à l’appel de plusieurs
organisations internationales, en soutien aux victimes d’Alep, où la
trêve a été rompue. Certains portaient un vêtement ou un objet rouge, en
rappel du sang versé, d’autres tenaient des bougies. Les nombreux
manifestants présents près du centre Pompidou ont scandé « Alep, Alep »,
« la Syrie vaincra, la Syrie vivra », « Bachar assassin, Poutine
criminel » ou encore « Bachar, Poutine, c’est vous les terroristes ».
« La population civile n’est pas indifférente à ce qui se
passe à l’autre bout du monde. On doit se mobiliser et montrer notre
indignation pour exiger la protection des civils en Syrie », a lancé
Cécile Coudriou, vice-présidente d’Amnesty International France. Des
membres d’associations d’amitié franco-syrienne, brandissant des
drapeaux syriens et des banderoles « sauvons Alep » ou
« cessez-le-feu », ont pris la parole en français et en arabe. « Je suis
là tout simplement par solidarité avec les Syriens et pour soutenir
leur lutte pour la démocratie », a expliqué Marie-Anne, 65 ans. « Des
gens meurent aujourd’hui pendant que nous faisons nos petits achats de
Noël. Il faut réagir ! » a regretté Clémence, une manifestante de 41
ans.